Ferias du sud ouest 2018

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Les Ferias du Sud Ouest ont été restreintes cette année uniquement à celle de Dax, mais cette dernière est incontournable .

 

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Après les activités festives telles que piscines et barbecues, concerts, bandas entre autres, il y a les tauromachies comme les courses landaises et les corridas espagnoles. Cette année le cartel était très séduisant même si quelques corridas se sont montrées décevantes.

 

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La quatrième corrida, une des plus intéressantes qui était proposée était le solo de Juan Bautista face à six toros d' encastes différentes.

 

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On retiendra la confrontation avec un grand toro de Victorino Martin et l’alegria de la dernière faena avec le sobrero de Jandilla.

 

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Quatre oreilles donc pour Juan Bautista et la Porte Principale des arènes pour une sortie à hombros très fêtée, le torero étant amené jusqu’à l’Hôtel du Splendide.


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La corrida de rejon a sa place et son public dans la programmation de la Féria de Dax. Les arènes étaient quasiment pleines ce matin de l’assomption pour voir toréer la préférée du public français Léa Vicens aux côtés de Andy Cartagena et Sergio Galan.
La corrida a duré plus de trois heures, a connu des moments intéressants mais aussi des longueurs. La faute en revient principalement à des toros de Los Espartales trop lourds pour ce type de tauromachie et qui ont baissé de ton en fin de faena.

 

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Andy Cartagena coupe trois oreilles mais il est pénible de voir le rejoneador faire de la retape pour que le public réclame encore plus de trophées. Ça devient plus du spectacle que de la tauromachie. Néanmoins, il sort à hombros par la Porte Principale des arènes. Une oreille pour Léa, peu aidée par ses toros.

 

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La dernière corrida de la Feria réunissait Le Landais Thomas Dufau, Juan del Alamo et Tomas Campos face à des toros de la ganaderia Ana Romero . Les arènes sont pleines comme toujours car une bonne partie des spectateurs vient pour entendre le concert final en regardant des toros. Cela fait un public froid qui a besoin de spectaculaire pour sortir de sa réserve. Il est difficile pour les aficionados présents d’être suffisamment moteurs pour faire le faire bouger lors de faenas sérieuses, techniques, avec une tauromachie sans fioritures, si les toros transmettent peu et ce fut le cas.

 

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Des trois toreros, c’est Juan del Alamo qui a construit les deux faenas les plus intéressantes, incomplètes certes mais techniquement intéressantes. Il a cette capacité à soutenir, aider et allonger la charge des toros. Mais le public est resté de marbre parce que c’est une tauromachie plus pour public madrilène ou du moins aficionados plus avertis. Une seule oreille pour Tomas Campos.

 

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La feria se termine par l'Agur, toujours aussi émouvante.

 

 

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